Charlotte Sometimes.

(Avant toute chose, je tiens à préciser que je n'aime pas The Cure. Merci.)

Fin d'une semaine de merde. Milieu d'un mois de merde d'un début d'année de merde. Je m'énerve de plusieurs choses, comme des cours de la fac, des examens à repasser, du comportement de certains de mes collègues, de l'absence de personnes qui me sont chères, de mon jemenfoutisme général, de mon agacement face à beaucoup mais surtout face à une certaine personne. Au final oui, les exceptions de sont qu'un mythe. Certains l'apprennent tôt, j'ai décidé de renier jusqu'à maintenant. Nous sommes tous pareils qui sait. Le désir de faire souffrir l'autre est il voulu ?

Les journées passent mais sont d'un ennui mortel, et pendant les rares minutes de libre que je possède, je me prends à essayer d'être lucide sur les personnes auxquelles je tiens. Même les meilleures sont infectes. Surtout les meilleures, car l'on en attent tellement plus.

Pour au final ... Rien avec un grand R majuscule.

Je suis lassée de rechercher quelque chose qui n'existe pas, fatiguée de promettre de ne plus jamais me laisser avoir pour au final re sauter à pieds joints dans des situations chiatiques. Ma déception est immense. Un grand coup de poing dans la gueule. L'effet d'un couteau dans le ventre. Le couteau, en l'occurence, je l'ai planté dans mon bras, par soucis de pratique.